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Un rendez-vous antidopage international au Département du Pas-de-Calais

Publié le 11 juillet 2011

Dimanche 10 juillet à Arras, l’hémicycle du Conseil général a accueilli un colloque international antidopage pour l’athlétisme. Marie-José Perec, triple championne olympique sur 400 et 200 mètres, était présente au même titre que différents chefs de délégations et athlètes qui participaient aux championnats du monde cadets à Villeneuve d’Ascq du 6 au 10 juillet.

Ce colloque était présidé par Bernard Amsalem, président de la Fédération Française d'Athlétisme en la présence de Martial Herbert, Président de la commission des politiques des réussites citoyennes. Il a également permis de recueillir le témoignage de Lamine Diack, président de la Fédération internationale d’athlétisme.

 

Chaque intervenant s’est exprimé sur le thème de la lutte contre le dopage. Et dans le milieu de l’athlétisme, c’est un sujet que la fédération a décidé de s’accaparer pleinement. Bernard Amsalem, a rappelé que les contrôles sont fréquents et récurrents dans le cadre du suivi longitudinal. C’est une volonté de la fédération qui permet d’anticiper les fraudes mais surtout de prévenir les risques liés à ce véritable fléau. Si le dopage relève de la tricherie, il demeure avant tout un véritable danger pour le sportif et il ne faut pas l’oublier.

Si le Conseil général peut organiser un tel rassemblement, c’est grâce à la convention signée en 2008 avec la FFA qui prévoit "l’organisation dans le département de différents événements sportifs ou colloques internationaux".

Ces rendez-vous accueillant des représentants du monde entier constituent une excellente occasion pour la collectivité de faire la promotion des installations qu’elle a subventionnées dans le cadre de la dynamique Pas-de-Calais 2012 .

 

Avec quatre sites de préparation pour l’athlétisme (Lens-Liévin, Calais, Le Touquet et Bruay-la-Buissière), et d’autres installations pour plus d’une dizaine de disciplines olympiques, le Pas-de-Calais montre bel et bien son dynamisme pour devenir la base arrière des Jeux Olympiques de Londres et au-delà de l’ensemble des grandes échéances sportives.